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C’était quelques semaines après ma dernière plus dispo sérieuse, et je me sentais décidément secoué. À 30 ans, on a toute foi quelquefois que la vie amoureuse est une voie sans obstacles, mais une plus dispo semble pouvoir tout transporter : on se redécouvre seul, on doute de soi, on perd un découvre passionnel. Moi, je passais mes nuits aux environs de me poser mille questions : « Suis‑je passé à côté de quelque chose ? Vais‑je retrouver l’envie d’aimer ? Vais‑je être seul des années ? » Un soir, en scrollant sur mon smartphone, je me perçois tombé sur un contenu louant la par email comme une façon réfléchi de recevoir un soutien extérieur sur mesure. Pas de communication téléphonique anxiogène, pas de rendez‑vous à proximité de tasser : j’écrivais, j’envoyais, j’attendais. Curieux, j’ai formulé un mail près de Olivier, le médium recommandé, en lui mettant ma circonstance amoureuse, mes doutes, mes peurs, et en lui posant trois questions précises : « Comment traiter de cette plus dispo ? Vais‑je rencontrer une personne encore une fois dans les sept futurs mois ? Qu’est‑ce que je dois changer en moi pour créer une relation saine ? » J’ai cliqué sur « envoyer » et j’ai désiré, me suppliant si ça valait véridiquement votre chance d'échanger autant de choses individuelles avec un nouveau.

quand la voyance par courrier électronique se fait un voyance olivier coup de tremplin pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai pinard que j’allais se claquer. Passer du lycée à l’université, cette solution n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des examens écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes annotations ont commencé à joindre, et je me suis mis à douter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un bts plus rassurante. Un soir de juillet, dans une situation délicate devant mes classiques de philo, je discute avec une connaissance qui me parle de la voyance par mail : « T’as un thème précis, tu envoies un mail, et tu reçois un texte détaillé dans la journée ». Ça m’a semblé plus en profondeur qu’un tarot au téléphone ou un SMS de 3 contenus internet. Alors j’ai tenté : j’ai écrit un mail à Olivier, exerçant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes craintes, mes peurs, même mes mauvaises pratiques ( je séchais assez souvent les TD pour pendre en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec un mélange d’espoir et de négation.



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